Participants : John, Petra, Martin S., Laurent et Géry de l’ESB, Pascal de l’Astragale.
Ce sera une découverte pour John, Petra et Martin et une redécouverte pour Pascal, Laurent et moi.
De fait, le chantoir de Ronsombeux n’est pas
souvent à l’agenda dans nos cahiers Atoma …
On se retrouve tous bien à l’heure sur un emplacement de parking sympa, caché en plein bois, en face d’un abri agricole qui servira de vestiaire.
Pas de cadenas UBS sur la trappe d’entrée.
C’est Martin qui passe devant avec le kit. Arrivé
en bas de l’échelle, surgit quelques moments de circonspections ...
Ce mauvais moment passé, Martin équipe le puits de
la grenouille (P20) puis le ressaut d’accès au « vestiaire ».
Pour passer le temps, John part dans les hauteurs sur une corde laissée en fixe.
Pressé de prendre notre revanche sur 2020 lorsque
Serge, Laurent et moi n’avions pas trouvé la suite, je monte vers le plafond et
trouve rapidement le boyau d’accès suivant. Youpie !!!
La suite se découvre sans trop de mal.
Caramba ! Il y a une grosse chauve-souris
accrochée à la paroi de la salle, la bien nommée … « salle
chauve-souris ». Nous sommes en hiver et je fais passer le mot de ne pas
se faire remarquer. Pas de bruit et lumière minimum AUB ! …
Descente, puis antichambre d’un boyau ramping au
départ étroit.
Pffff … Laurent et moi restons là.
Les 4 continuent et descendent même au fond
jusqu’au siphon.
On aurait pu croire que cet accès puisse être
complètement noyé en cette saison.
Mais non !
Nous nous retrouvons 30 minutes plus tard et
entamons la remontée.
Malgré notre bon comportement, la chauve-souris
s’est envolée …
C’est Martin qui déséquipe.
La chierie d’entrée fût très douloureuse pour
Laurent et moi …
TPST : 3 heures. Nous retraversons la prairie
sous un beau soleil !
Vite, quelques photos !
Rendez-vous à Bomal pour l’indispensable pot de
l’Amitié.
Le « café carré » est rempli et ne nous
offre plus que des places en extérieur.
Mais nous sommes solidaire de la princesse Petra
qui a froid.
C’est comme cela que nous découvrons, proche de
l’Ourthe, la taverne « L’escale » qui est fermée ... mais pas la
porte !
Le patron flamand nous laisse rentrer, ouvre les
tentures et allume le chauffage.
La vidéo-musique nous abreuve de succès des années
70.
Nous terminons cette très belle journée dans une
ambiance chaleureuse avec des discussions qui partent dans tous les sens.
Prochain rendez-vous, qui en Belgique, qui en
Thaïlande ! ...
Le rapporteur de service : Géry
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